Théâtre - Lecture
Lectures excentriques
Du 23/03/2017 à 20:00
Au 29/06/2017 à 20:00
Au 29/06/2017 à 20:00
Description
Un nouveau rendez-vous mensuel le jeudi soir à 20h à partir de mars 2017.
Les trois premières Lectures Excentriques seront menées par le collectif Moulins à Paroles, qui vous propose de découvrir l'Europe de façon joyeuse à travers des textes très actuels.
Le collectif Moulin à Paroles est un comité de lecture composé de 20 artistes curieux et généreux.
Partie depuis 6 ans à la découverte du tout jeune théâtre européen, cette troupe s'est donnée pour mission de faire entendre des dramaturgies nouvelles.
Qu'est-ce qui s'écrit en Europe au XXI e siècle ? Après avoir lu et échangé, ils sélectionnent des textes coups de cœur, et organisent des mises en voix, en mouvements…
Des textes suédois ou écossais ? Quelle aubaine de pouvoir entendre les mots qui courent loin de chez nous ! Et pourquoi ne pas profiter des espaces du Samovar, des passages de clowns ou de la vie ambiante. Tout est possible !
Laissez -vous surprendre par ces écritures audacieuses et étonnantes.
- jeudi 23 mars à 20h : I.D. de Rasmus Lindberg
Traduction (Suède) : Marianne Ségol-Samoy Mise en espace : Hélène Lina Bosch Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Hélène Arnault, Johanne Thibaut, Olivier Collinet Genre : Énigme criminelle existentielle Résumé : Tu t’assois bien confortablement dans une salle de théâtre pour regarder une pièce. Mais dans cette pièce, Tu découvres que Tu es le personnage principal et Tu apprends que Tu vas mourir dans quelques années. Bien sûr, Tu n’es pas d’accord. Qui est responsable de Ta mort prochaine ? Qui voudrait Te tuer ? Un super détective privé est bientôt engagé pour tenter de trouver Ton futur meurtrier… Et Toi, que penses-tu de tout ça ?
Regard de la traductrice : I.D est une comédie ultra-rapide, inspirée de la BD et bourrée de vitalité. Un texte très juste et très fort, particulièrement pour le public adolescent auquel il est destiné. Rasmus Lindberg qui écrit aussi bien pour les adultes que pour le jeune public, est aujourd’hui considéré comme un des jeunes auteurs suédois importants et s’inscrit dans une nouvelle génération d’auteurs à l’écriture très travaillée.
- jeudi 6 avril à 20h :
Moi, Sidonie, Poum...de et avec Julie Cayeux (éditions Christophe Chomant)
C’est l’histoire de Marie Bell petite fille avec des couettes, son piano et sa cruauté enfantine avec son cousin Denis pas très éveillé. Marie bell, qui grandit, devient femme, et que la misère et la violence vont transformer en tueuse sans pitié armée de sa pelle Sidonie C’est délicieusement horrible et drôle à la fois, car avant de devenir un peu cinglée, Marie bell va rencontrer des fantômes bienveillants : Un astrophysicien, un samouraï, Frédéric Chopin, Schopenhauer, le cinéaste Béla Tarr qui vont remplir sa vie et son esprit. Bien sûr c’est complètement décalé et irrésistible. C’est drôle, d’abord par l’écriture, puis par le jeu, parfois clownesque et par une mise en scène précise et efficace qui fait de ce spectacle un condensé d’humour noir. C’est aussi une manière originale d’aborder les violences faites aux femmes et l’importance de la culture dans nos vies.
Tigrane : de et avec Jalie Barcilon (éditions Christophe Chomant)
Juin 2015, Tigrane, 17 ans, a disparu. Isabelle, professeure de lettres, est convoquée au commissariat. A travers son témoignage, on reconstitue le portrait fragmenté d’un adolescent en rupture. Isabelle est arrivée au lycée pleine de grandes idées. Elle y a rencontré Tigrane, un garçon en CAP qui ne veut rien faire et la provoque. Isabelle s’acharne, et derrière le provocateur, elle découvre un garçon qui n’a pas les mots, un garçon fragile qu’un père manipulateur rend fou. Avec elle, Tigrane découvre la poésie et la peinture. Isabelle voit en lui un artiste. Tigrane est heureux. Mais voici qu’il tombe amoureux. Mais voici qu’il est arrête le C.A.P pour elle, pour dessiner…
- jeudi 20 avril à 20h : Le monstre du couloir de David Greig
Traduction (Écosse) : Dominique Hollier Mise en espace : David Van de Woestyne. Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Olivier Collinet, Johanne Thibaut, Elsa Tauveron... Duck Macatarsney est une jeune fille de seize ans à l’imagination débordante. Depuis la mort de sa mère dans un accident de moto quand elle avait trois ans, elle vit seule avec son père Duke, un biker dont la sclérose en plaques empire de jour en jour, qui fume des joints (pour atténuer les symptômes), aime les motos, le heavy-metal, la pizza et les jeux de rôle. Entre l’école et son père dont elle doit s’occuper, Duck est un peu sous pression et s’évade le matin en écrivant une autobiographie fantaisiste. Quand Duck apprend que l’assistante sociale doit leur rendre visite pour voir si tout va bien, elle décide qu’elle et son père doivent à tout prix jouer la comédie de la normalité pour éviter qu’on ne la place en foyer. Mais les choses se compliquent avec l’arrivée d’une drôle de heavy rockeuse norvégienne, partenaire virtuelle de Duke dans un jeu en ligne auquel il passe ses nuits, et l’irruption de Larry, dont Duck est secrètement amoureuse. Le tout sous l’œil de la fée catastrophe. Ah oui, et aussi, ce matin, Duke s’est réveillé aveugle…
- jeudi 11 mai à 20h : L’apathie pour débutants de Jonas Hassen Khemiri
Traduction (Suède) : Marianne Ségol-Samoy Mise en espace : Elsa Tauveron et Olivier Collinet. Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Hélène Arnault, Hélène-Lina Bosc, Xavier-Valery Gauthier, Sonia Jacob, Johanne Thibaut, David van de Woestyne, et des élèves de 1ère année du Samovar. Résumé :
Cette pièce, inspirée d’un fait divers, raconte que dans les années 2000 en Suède, un grand nombre d’enfants de familles demandeuses d’asile, sont mystérieusement tombés malades. Quel était ce phénomène étrange ? On insinuait que les enfants faisaient semblant d’être malades pour obtenir un permis de séjour. Ou que les parents empoisonnaient leurs enfants. Ou encore que les enfants étaient tombés malades à cause de la politique d’immigration de la Suède… L’enquêteur parle à La voix dans sa tête et se lance à la poursuite de la vérité… il faudrait démêler le vrai du faux - la rumeur de la manipulation ? - mais pour ça il faudrait aussi que ce soit pas tant le bordel entre le réfugié dragueur, les commentateurs de rumeurs absurdes, la voix qui manipule les souvenirs de L’enquêteur et les comédiens qui changent de rôle en cours de route…
- jeudi 8 juin à 20h : Les attentifs de et avec Marc Mauguin (enseignant au Samovar)
publié aux éditions Robert Laffont, collection Les Passe-Murailles Une comédie humaine sensible et grinçante inspirée des tableaux d'Edward Hopper. Au coeur de l'Amérique des années 1930-1960, les personnages de douze tableaux d'Edward Hopper se croisent de manière inattendue. Un faisceau de solitaires, d'ambitieux redoutables, d'amants, de mères cruelles, de fantômes, de femmes mélancoliques et de rêveurs impénitents, tisse une comédie humaine grinçante et sensible. Marc Mauguin (enseignant au Samovar) explore les âmes et saisit des instants de vie suspendus avant qu'une décision ou un accident ne vienne en modifier le cours. Sous sa plume, aussi originale que puissante, les toiles s'animent et nous aspirent.
- jeudi 29 juin à 20h : Contre les bêtes de Jacques Rebotier
Un texte drôle et cinglant qui évoque la prétention humaine à vouloir tout régir et ce, pour le plus grand désastre. Création de la compagnie Ephéméride interprétation : d’Arno Feffer mise en scène : Patrick Verschueren (La Factorie, Maison de poésie de Normandie)
Lire la suiteLes trois premières Lectures Excentriques seront menées par le collectif Moulins à Paroles, qui vous propose de découvrir l'Europe de façon joyeuse à travers des textes très actuels.
Le collectif Moulin à Paroles est un comité de lecture composé de 20 artistes curieux et généreux.
Partie depuis 6 ans à la découverte du tout jeune théâtre européen, cette troupe s'est donnée pour mission de faire entendre des dramaturgies nouvelles.
Qu'est-ce qui s'écrit en Europe au XXI e siècle ? Après avoir lu et échangé, ils sélectionnent des textes coups de cœur, et organisent des mises en voix, en mouvements…
Des textes suédois ou écossais ? Quelle aubaine de pouvoir entendre les mots qui courent loin de chez nous ! Et pourquoi ne pas profiter des espaces du Samovar, des passages de clowns ou de la vie ambiante. Tout est possible !
Laissez -vous surprendre par ces écritures audacieuses et étonnantes.
- jeudi 23 mars à 20h : I.D. de Rasmus Lindberg
Traduction (Suède) : Marianne Ségol-Samoy Mise en espace : Hélène Lina Bosch Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Hélène Arnault, Johanne Thibaut, Olivier Collinet Genre : Énigme criminelle existentielle Résumé : Tu t’assois bien confortablement dans une salle de théâtre pour regarder une pièce. Mais dans cette pièce, Tu découvres que Tu es le personnage principal et Tu apprends que Tu vas mourir dans quelques années. Bien sûr, Tu n’es pas d’accord. Qui est responsable de Ta mort prochaine ? Qui voudrait Te tuer ? Un super détective privé est bientôt engagé pour tenter de trouver Ton futur meurtrier… Et Toi, que penses-tu de tout ça ?
Regard de la traductrice : I.D est une comédie ultra-rapide, inspirée de la BD et bourrée de vitalité. Un texte très juste et très fort, particulièrement pour le public adolescent auquel il est destiné. Rasmus Lindberg qui écrit aussi bien pour les adultes que pour le jeune public, est aujourd’hui considéré comme un des jeunes auteurs suédois importants et s’inscrit dans une nouvelle génération d’auteurs à l’écriture très travaillée.
- jeudi 6 avril à 20h :
Moi, Sidonie, Poum...de et avec Julie Cayeux (éditions Christophe Chomant)
C’est l’histoire de Marie Bell petite fille avec des couettes, son piano et sa cruauté enfantine avec son cousin Denis pas très éveillé. Marie bell, qui grandit, devient femme, et que la misère et la violence vont transformer en tueuse sans pitié armée de sa pelle Sidonie C’est délicieusement horrible et drôle à la fois, car avant de devenir un peu cinglée, Marie bell va rencontrer des fantômes bienveillants : Un astrophysicien, un samouraï, Frédéric Chopin, Schopenhauer, le cinéaste Béla Tarr qui vont remplir sa vie et son esprit. Bien sûr c’est complètement décalé et irrésistible. C’est drôle, d’abord par l’écriture, puis par le jeu, parfois clownesque et par une mise en scène précise et efficace qui fait de ce spectacle un condensé d’humour noir. C’est aussi une manière originale d’aborder les violences faites aux femmes et l’importance de la culture dans nos vies.
Tigrane : de et avec Jalie Barcilon (éditions Christophe Chomant)
Juin 2015, Tigrane, 17 ans, a disparu. Isabelle, professeure de lettres, est convoquée au commissariat. A travers son témoignage, on reconstitue le portrait fragmenté d’un adolescent en rupture. Isabelle est arrivée au lycée pleine de grandes idées. Elle y a rencontré Tigrane, un garçon en CAP qui ne veut rien faire et la provoque. Isabelle s’acharne, et derrière le provocateur, elle découvre un garçon qui n’a pas les mots, un garçon fragile qu’un père manipulateur rend fou. Avec elle, Tigrane découvre la poésie et la peinture. Isabelle voit en lui un artiste. Tigrane est heureux. Mais voici qu’il tombe amoureux. Mais voici qu’il est arrête le C.A.P pour elle, pour dessiner…
- jeudi 20 avril à 20h : Le monstre du couloir de David Greig
Traduction (Écosse) : Dominique Hollier Mise en espace : David Van de Woestyne. Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Olivier Collinet, Johanne Thibaut, Elsa Tauveron... Duck Macatarsney est une jeune fille de seize ans à l’imagination débordante. Depuis la mort de sa mère dans un accident de moto quand elle avait trois ans, elle vit seule avec son père Duke, un biker dont la sclérose en plaques empire de jour en jour, qui fume des joints (pour atténuer les symptômes), aime les motos, le heavy-metal, la pizza et les jeux de rôle. Entre l’école et son père dont elle doit s’occuper, Duck est un peu sous pression et s’évade le matin en écrivant une autobiographie fantaisiste. Quand Duck apprend que l’assistante sociale doit leur rendre visite pour voir si tout va bien, elle décide qu’elle et son père doivent à tout prix jouer la comédie de la normalité pour éviter qu’on ne la place en foyer. Mais les choses se compliquent avec l’arrivée d’une drôle de heavy rockeuse norvégienne, partenaire virtuelle de Duke dans un jeu en ligne auquel il passe ses nuits, et l’irruption de Larry, dont Duck est secrètement amoureuse. Le tout sous l’œil de la fée catastrophe. Ah oui, et aussi, ce matin, Duke s’est réveillé aveugle…
- jeudi 11 mai à 20h : L’apathie pour débutants de Jonas Hassen Khemiri
Traduction (Suède) : Marianne Ségol-Samoy Mise en espace : Elsa Tauveron et Olivier Collinet. Avec des membres du Collectif Moulins à paroles : Hélène Arnault, Hélène-Lina Bosc, Xavier-Valery Gauthier, Sonia Jacob, Johanne Thibaut, David van de Woestyne, et des élèves de 1ère année du Samovar. Résumé :
Cette pièce, inspirée d’un fait divers, raconte que dans les années 2000 en Suède, un grand nombre d’enfants de familles demandeuses d’asile, sont mystérieusement tombés malades. Quel était ce phénomène étrange ? On insinuait que les enfants faisaient semblant d’être malades pour obtenir un permis de séjour. Ou que les parents empoisonnaient leurs enfants. Ou encore que les enfants étaient tombés malades à cause de la politique d’immigration de la Suède… L’enquêteur parle à La voix dans sa tête et se lance à la poursuite de la vérité… il faudrait démêler le vrai du faux - la rumeur de la manipulation ? - mais pour ça il faudrait aussi que ce soit pas tant le bordel entre le réfugié dragueur, les commentateurs de rumeurs absurdes, la voix qui manipule les souvenirs de L’enquêteur et les comédiens qui changent de rôle en cours de route…
- jeudi 8 juin à 20h : Les attentifs de et avec Marc Mauguin (enseignant au Samovar)
publié aux éditions Robert Laffont, collection Les Passe-Murailles Une comédie humaine sensible et grinçante inspirée des tableaux d'Edward Hopper. Au coeur de l'Amérique des années 1930-1960, les personnages de douze tableaux d'Edward Hopper se croisent de manière inattendue. Un faisceau de solitaires, d'ambitieux redoutables, d'amants, de mères cruelles, de fantômes, de femmes mélancoliques et de rêveurs impénitents, tisse une comédie humaine grinçante et sensible. Marc Mauguin (enseignant au Samovar) explore les âmes et saisit des instants de vie suspendus avant qu'une décision ou un accident ne vienne en modifier le cours. Sous sa plume, aussi originale que puissante, les toiles s'animent et nous aspirent.
- jeudi 29 juin à 20h : Contre les bêtes de Jacques Rebotier
Un texte drôle et cinglant qui évoque la prétention humaine à vouloir tout régir et ce, pour le plus grand désastre. Création de la compagnie Ephéméride interprétation : d’Arno Feffer mise en scène : Patrick Verschueren (La Factorie, Maison de poésie de Normandie)
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