Théâtre - Jeune public / Enfants
Nasreddine Hodja - le fou qui était sage
Du 14/02/2022 à 15:00
Au 18/02/2022 à 15:00
Au 18/02/2022 à 15:00
Description
Nasreddine, à travers ses histoires, est un éclat de rire. Il est libre, heureux et conduit sa vie comme il l’entend.
Entre le conte et le théâtre, fidèle à nos petites formes décentralisables et autonomes qui vont à la rencontre du public, ce spectacle est une invitation à rester aux prises avec la vie et chercher le bonheur. En multipliant les supports d’évocation (diapositives, pinces à linges, ombres), un personnage, marginal un peu fou, enfermé dans le bric-à-brac de ce qui ressemble à une existence gâchée, invente continuellement de nouvelles façons de se raconter sa vie à travers les
aventures du sage-fou.
Tel un spectacle de marionnettes où le castelet existe sans être là, l’évocation du décor, une chambrette encombrée, bien loin de l’imagerie orientale, invite au voyage initiatique entre passé de la fable et présent de la représentation.
C’est avec la force du rire et de la poésie que nous créons ces couloirs temporels qui nous conduisent vers Nasreddine, son époque résonnant dans notre époque, ouvrant les portes de la tolérance, effaçant les oppositions entre Orient et Occident, balayant la peur de l’étranger, du pauvre, de l’autre, et nous offrant la conviction qu’il est temps que l’Homme arrête de faire n’importe quoi.
Valéry Forestier
Lire la suiteEntre le conte et le théâtre, fidèle à nos petites formes décentralisables et autonomes qui vont à la rencontre du public, ce spectacle est une invitation à rester aux prises avec la vie et chercher le bonheur. En multipliant les supports d’évocation (diapositives, pinces à linges, ombres), un personnage, marginal un peu fou, enfermé dans le bric-à-brac de ce qui ressemble à une existence gâchée, invente continuellement de nouvelles façons de se raconter sa vie à travers les
aventures du sage-fou.
Tel un spectacle de marionnettes où le castelet existe sans être là, l’évocation du décor, une chambrette encombrée, bien loin de l’imagerie orientale, invite au voyage initiatique entre passé de la fable et présent de la représentation.
C’est avec la force du rire et de la poésie que nous créons ces couloirs temporels qui nous conduisent vers Nasreddine, son époque résonnant dans notre époque, ouvrant les portes de la tolérance, effaçant les oppositions entre Orient et Occident, balayant la peur de l’étranger, du pauvre, de l’autre, et nous offrant la conviction qu’il est temps que l’Homme arrête de faire n’importe quoi.
Valéry Forestier