Festival - Blues / Jazz / Country
Festival JAZZEBRE SYLVAIN RIFFLET "MECHANICS" + GIULIA VALLE TRIO
Du 29/09/2017 à 21:00
Au 30/09/2017 à 00:00
Au 30/09/2017 à 00:00
Description
IL RESTE DES PLACES POUR LE CONCERT DE CE SOIR LA BILLETTERIE OUVRIRA SUR PLACE A PARTIR DE 20H30. OUVERTURE DU SITE A PARTIR DE 20H AVEC BAR ET FOOD TRUCK SUR PLACE.
"MECHANICS"
SYLVAIN RIFFLET : SAXOPHONE TÉNOR, CLARINETTE, BOÎTE À
MUSIQUE ARTISANALE
BENJAMIN FLAMENT : PERCUSSIONS, MÉTAUX TRAITÉS,
PHILIPPE GORDIANI : GUITARES
JOCELYN MIENNIEL : FLÛTE, KALIMBA
La poésie et la littérature de la fin du XIXe siècle et du début du
XXe siècle décrivirent le plus souvent le monde industriel et ses
machines comme des ennemis de l’art. Une autre littérature plus
aimable, et ne pouvant se sastisfaire de cette déshumanisation,
les pensèrent alors intimement voués à l’homme comme
chez Zola ou Pasolini. Puis la science-fiction imagina un monde
futuriste inspiré des artistes et écrivains tels Jules Verne ou H.
G. Wells. La machinerie dévoile alors son âme.
Il n’est donc pas anodin que Sylvain Rifflet ait choisi d’illustrer
son album Mechanics d’un dessin de François Schuiten, écrivain
et dessinateur rétro-futuriste, amoureux des ciels saturés
d’engins volants et sphériques, des mondes conçus comme un
voyage imaginé assez loin du temps et inspirés des saveurs du
début de la science-fiction.
Un capharnaüm métallique d’anneaux astronomiques où
le personnage en manteau rouge - héros volontairement
vintage d’un monde à naître - illustre une galaxie musicale
faite d’instruments de bois, de métaux, de boîtes à musique,
d’objets «faits-maison» et évoque les «petits mécanismes» bien
huilés, les constructions complexes et le désordre savamment
organisé où rôdent Maurits Cornelis Escher et ses constructions
impossibles. Ici la musique est conçue comme une utopie,
une vision métaphorique d’un futur imaginé, où l’univers est
fantasmé, onirique ou visionnaire, comme pour réinventer un
jazz tendance Lukas Vojir.
GIULIA VALLE TRIO
GIULIA VALLE : CONTREBASSE, COMPOSITION
MARCO MEZQUIDA : PIANO
DAVID XIRGU : BATTERIE
Giulia Valle, contrebassiste et compositrice à haute tension, est l’une des voix créatrices les plus prolifiques du jazz
européen.
Audacieuse, surprenante et d’une intensité extraordinaire, sa créativité l’amène à estomper les limites du jazz en faisant
un clin d’oeil à d’autres styles tels que la pop et la chacarera, où à se plonger dans le free-jazz le plus psychédélique.
Sa musique évolue dans des niveaux parallèles : elle invite la pensée à entrer en contact avec la sophistication et la
complexité, et en même temps envoie une avalanche de sons riches, accessibles et attirants au public.
Giulia Valle Trio présente son nouvel album Live in San Francisco (Discmedi, 2017). Le disque a été enregistré en live au
SFJAZZ à San Francisco et il a été présenté en concert à Londres, Munich, Madrid et Barcelone.
Giulia Valle dirige ce trio intense et imprévisible accompagnée de deux piliers du jazz catalan : l’extraordinaire Marco
Mezquida et l’indispensable David Xirgu.
La vibrante personnalité de la compositrice s’impose avec une musique originale pleine de dynamiques et de contrastes.
Les mélodies, uniques et variées, circulent sur des motifs rythmiques changeants et surprenants, faciles à suivre et au
même temps complexes et inextricables.
crédit photo : Sylvain Gripoix
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SYLVAIN RIFFLET : SAXOPHONE TÉNOR, CLARINETTE, BOÎTE À
MUSIQUE ARTISANALE
BENJAMIN FLAMENT : PERCUSSIONS, MÉTAUX TRAITÉS,
PHILIPPE GORDIANI : GUITARES
JOCELYN MIENNIEL : FLÛTE, KALIMBA
La poésie et la littérature de la fin du XIXe siècle et du début du
XXe siècle décrivirent le plus souvent le monde industriel et ses
machines comme des ennemis de l’art. Une autre littérature plus
aimable, et ne pouvant se sastisfaire de cette déshumanisation,
les pensèrent alors intimement voués à l’homme comme
chez Zola ou Pasolini. Puis la science-fiction imagina un monde
futuriste inspiré des artistes et écrivains tels Jules Verne ou H.
G. Wells. La machinerie dévoile alors son âme.
Il n’est donc pas anodin que Sylvain Rifflet ait choisi d’illustrer
son album Mechanics d’un dessin de François Schuiten, écrivain
et dessinateur rétro-futuriste, amoureux des ciels saturés
d’engins volants et sphériques, des mondes conçus comme un
voyage imaginé assez loin du temps et inspirés des saveurs du
début de la science-fiction.
Un capharnaüm métallique d’anneaux astronomiques où
le personnage en manteau rouge - héros volontairement
vintage d’un monde à naître - illustre une galaxie musicale
faite d’instruments de bois, de métaux, de boîtes à musique,
d’objets «faits-maison» et évoque les «petits mécanismes» bien
huilés, les constructions complexes et le désordre savamment
organisé où rôdent Maurits Cornelis Escher et ses constructions
impossibles. Ici la musique est conçue comme une utopie,
une vision métaphorique d’un futur imaginé, où l’univers est
fantasmé, onirique ou visionnaire, comme pour réinventer un
jazz tendance Lukas Vojir.
GIULIA VALLE TRIO
GIULIA VALLE : CONTREBASSE, COMPOSITION
MARCO MEZQUIDA : PIANO
DAVID XIRGU : BATTERIE
Giulia Valle, contrebassiste et compositrice à haute tension, est l’une des voix créatrices les plus prolifiques du jazz
européen.
Audacieuse, surprenante et d’une intensité extraordinaire, sa créativité l’amène à estomper les limites du jazz en faisant
un clin d’oeil à d’autres styles tels que la pop et la chacarera, où à se plonger dans le free-jazz le plus psychédélique.
Sa musique évolue dans des niveaux parallèles : elle invite la pensée à entrer en contact avec la sophistication et la
complexité, et en même temps envoie une avalanche de sons riches, accessibles et attirants au public.
Giulia Valle Trio présente son nouvel album Live in San Francisco (Discmedi, 2017). Le disque a été enregistré en live au
SFJAZZ à San Francisco et il a été présenté en concert à Londres, Munich, Madrid et Barcelone.
Giulia Valle dirige ce trio intense et imprévisible accompagnée de deux piliers du jazz catalan : l’extraordinaire Marco
Mezquida et l’indispensable David Xirgu.
La vibrante personnalité de la compositrice s’impose avec une musique originale pleine de dynamiques et de contrastes.
Les mélodies, uniques et variées, circulent sur des motifs rythmiques changeants et surprenants, faciles à suivre et au
même temps complexes et inextricables.
crédit photo : Sylvain Gripoix