Théâtre - Classique
Bérénice
Du 30/11/2017 à 19:00
Au 03/12/2017 à 15:30
Au 03/12/2017 à 15:30
Description
Bérénice
de Jean Racine
Mise en scène Bilal Dufrou
Dramaturgie Quentin Van Eeckhout
Scénographie et costumes Sausen Mustafova
Avec Léonard Boissier, David Brémaud, Ariane Colas de la Noue, Bilal Dufrou (en alternance), Maxime Goncalves, Théotime Ouaniche, Quentin Van Eeckhout (en alternance) et Margaux Villain-Amirat
Durée : 2 heures – Tout public
Titus, nouvel empereur de Rome, Bérénice, Reine de Palestine, tous deux épris l’un de l’autre, et Antiochus, Roi de Comagène, amoureux malheureux de Bérénice et frère d’armes de l’empereur, sont tous trois emportés dans la spirale tragique de l’amour impossible dans laquelle ils perdront la raison.
Bérénice ce sont des corps, dans leurs crispations jouissives, épiés, écrasés sous le poids d’une réalité qui les dépassent.
Des corps qui crient, qui disent, qui parlent. Leur seule arme, les mots, pour ne pas mourir. Pas de meurtres, pas de suicide, pas d’action, juste des mots. Mots-bourreaux dans une atmosphère moite, chaude, obscure, percé de lumière, pesant sur des corps écorchés. Bérénice se sont les mots et leur nécessitée.
La question n’est pas de savoir si Titus aime ou non Bérénice, mais plutôt « à quoi renonce-t-on ? »
Bilal Dufrou
Lire la suitede Jean Racine
Mise en scène Bilal Dufrou
Dramaturgie Quentin Van Eeckhout
Scénographie et costumes Sausen Mustafova
Avec Léonard Boissier, David Brémaud, Ariane Colas de la Noue, Bilal Dufrou (en alternance), Maxime Goncalves, Théotime Ouaniche, Quentin Van Eeckhout (en alternance) et Margaux Villain-Amirat
Durée : 2 heures – Tout public
Titus, nouvel empereur de Rome, Bérénice, Reine de Palestine, tous deux épris l’un de l’autre, et Antiochus, Roi de Comagène, amoureux malheureux de Bérénice et frère d’armes de l’empereur, sont tous trois emportés dans la spirale tragique de l’amour impossible dans laquelle ils perdront la raison.
Bérénice ce sont des corps, dans leurs crispations jouissives, épiés, écrasés sous le poids d’une réalité qui les dépassent.
Des corps qui crient, qui disent, qui parlent. Leur seule arme, les mots, pour ne pas mourir. Pas de meurtres, pas de suicide, pas d’action, juste des mots. Mots-bourreaux dans une atmosphère moite, chaude, obscure, percé de lumière, pesant sur des corps écorchés. Bérénice se sont les mots et leur nécessitée.
La question n’est pas de savoir si Titus aime ou non Bérénice, mais plutôt « à quoi renonce-t-on ? »
Bilal Dufrou