Théâtre - Jeune public / Enfants
Les habits neufs de l'Empereur
Le 04/05/2019 de 17:00 à 18:00
Description
d'après Hans Christian Andersen
Conception et interprétation Grit Krausse, Hugues Hollenstein et Guillaume Druel
Théâtre gestuel, masques, théâtre d'ombres à partir de 7 ans
Compagnie Escale
Il y a très longtemps, dans un pays très lointain, un empereur très puissant. Il aimait par-dessus tous les très jolis costumes. Pour chaque heure du jour il en avait un, voire deux, et des milliers dans sa garde robes. Un jour, au palais, se présentent deux tailleurs, escrocs de profession. Ils se vantent de savoir tisser une étoffe merveilleuse, invisible aux imbéciles et aux sots. Les voilà à passer leurs navettes sur un métier vide, amassant or et fil de soie. Au premier lé, l’empereur envoie son chambellan : celui-ci ne voit rien, mais ne voulant pas paraître sot, de l’étoffe il fait l’éloge. À la deuxième coupe, le ministre est dépêché : pas plus sot que le premier, il fait enfler la rumeur… Et ainsi de suite jusqu’à l’empereur.
Hans Christian Andersen a été confronté toute sa vie au conformisme de son milieu et de son temps. Inventant un nouveau genre littéraire avec ses contes, il a d’abord été refusé par la critique, puis finalement mondialement reconnu. La forme de ce conte malicieux permet de transposer dans un monde imaginaire une réflexion profonde sur la fièvre d’obéissance de l’être humain.
Lire la suiteConception et interprétation Grit Krausse, Hugues Hollenstein et Guillaume Druel
Théâtre gestuel, masques, théâtre d'ombres à partir de 7 ans
Compagnie Escale
Il y a très longtemps, dans un pays très lointain, un empereur très puissant. Il aimait par-dessus tous les très jolis costumes. Pour chaque heure du jour il en avait un, voire deux, et des milliers dans sa garde robes. Un jour, au palais, se présentent deux tailleurs, escrocs de profession. Ils se vantent de savoir tisser une étoffe merveilleuse, invisible aux imbéciles et aux sots. Les voilà à passer leurs navettes sur un métier vide, amassant or et fil de soie. Au premier lé, l’empereur envoie son chambellan : celui-ci ne voit rien, mais ne voulant pas paraître sot, de l’étoffe il fait l’éloge. À la deuxième coupe, le ministre est dépêché : pas plus sot que le premier, il fait enfler la rumeur… Et ainsi de suite jusqu’à l’empereur.
Hans Christian Andersen a été confronté toute sa vie au conformisme de son milieu et de son temps. Inventant un nouveau genre littéraire avec ses contes, il a d’abord été refusé par la critique, puis finalement mondialement reconnu. La forme de ce conte malicieux permet de transposer dans un monde imaginaire une réflexion profonde sur la fièvre d’obéissance de l’être humain.