Théâtre - Jeune public / Enfants
Festival JAZZEBRE "La Bête à Sept Têtes"
Le 04/10/2017 de 18:30 à 19:30
Description
Olivier Bost : trombone, voix
Clémence Cognet : violon, voix
Clément Gibert : clarinette basse, sanza, voix, conte
C’est en créant un lien entre l’imaginaire fantastique de ce conte et la musique jouée que nous pouvons décliner une
grande diversité de pièces musicales, où l’étrangeté de l’histoire sera envisagée comme la trame de nos matières sonores,
permettant d’intégrer des esthétiques variées et singulières : jazz, musique improvisée, chansons, mélodies traditionnelles,
etc. Ces propositions musicales s’articuleront autour d’un corps (notre orchestre) comme autant de têtes, ou de visages,
comme autant d’excroissances d’une entité fantastique...
« La Bête à sept têtes » c’est le désir de provoquer une écoute inattendue et surprenante. Nous avons envie de
questionner la dimension collective de nos richesses culturelles, en mêlant conjointement nos ressources musicales,
intimes ou populaires.
Trois musiciens, trois façons d’aborder l’improvisation au carrefour de l’écriture et de l’oralité. Avant de devenir un style
(trop ?) défini, le jazz a naturellement empreinté aux musiques populaires pour leurs vertus intrin- sèques de libertés et
de re-créations permanentes. Les musiques traditionnelles, d’où qu’elles proviennent, sont le terreau fertile et toujours
en mouvement de notre appétit sonore insatiable.
Le choix de l’orchestration (violon, trombone, clarinette basse) permet cette jonction stylistique emprunte de fluidité
acoustique : Clément Gibert et Olivier Bost sont complices au sein de l’Arfi de mul- tiples aventures musicales improvisées,
quant au chant et au violon de Clémence Cognet, c’est une invitation évidente à une approche quasi intuitive de la
mélodie. Si l’improvisation est le socle principal de l’édifice commun, un goût affirmé pour les répertoires oraux et leur
lyrisme implacable permettent de raconter les paysages, les gens et leurs chemins.
crédit photo : Steve Wells
Lire la suiteClémence Cognet : violon, voix
Clément Gibert : clarinette basse, sanza, voix, conte
C’est en créant un lien entre l’imaginaire fantastique de ce conte et la musique jouée que nous pouvons décliner une
grande diversité de pièces musicales, où l’étrangeté de l’histoire sera envisagée comme la trame de nos matières sonores,
permettant d’intégrer des esthétiques variées et singulières : jazz, musique improvisée, chansons, mélodies traditionnelles,
etc. Ces propositions musicales s’articuleront autour d’un corps (notre orchestre) comme autant de têtes, ou de visages,
comme autant d’excroissances d’une entité fantastique...
« La Bête à sept têtes » c’est le désir de provoquer une écoute inattendue et surprenante. Nous avons envie de
questionner la dimension collective de nos richesses culturelles, en mêlant conjointement nos ressources musicales,
intimes ou populaires.
Trois musiciens, trois façons d’aborder l’improvisation au carrefour de l’écriture et de l’oralité. Avant de devenir un style
(trop ?) défini, le jazz a naturellement empreinté aux musiques populaires pour leurs vertus intrin- sèques de libertés et
de re-créations permanentes. Les musiques traditionnelles, d’où qu’elles proviennent, sont le terreau fertile et toujours
en mouvement de notre appétit sonore insatiable.
Le choix de l’orchestration (violon, trombone, clarinette basse) permet cette jonction stylistique emprunte de fluidité
acoustique : Clément Gibert et Olivier Bost sont complices au sein de l’Arfi de mul- tiples aventures musicales improvisées,
quant au chant et au violon de Clémence Cognet, c’est une invitation évidente à une approche quasi intuitive de la
mélodie. Si l’improvisation est le socle principal de l’édifice commun, un goût affirmé pour les répertoires oraux et leur
lyrisme implacable permettent de raconter les paysages, les gens et leurs chemins.
crédit photo : Steve Wells