Théâtre - Contemporain
The Great Disaster
Du 24/11/2016 à 19:30
Au 26/11/2016 à 20:30
Au 26/11/2016 à 20:30
Description
De Patrick Kerman
Un grand texte servi par un grand acteur. Une heure de théâtre. Exceptionnel !
Giovanni Pastore est descendu de ses montagnes du Frioul pour chercher du travail. Il a marché à travers l’Italie, la France, l’Allemagne. Il a toujours été l’émigré, l’ouvrier, l’homme à tout faire. Puis Giovanni Pastore a trouvé une « bonne place » sur le Titanic : plongeur, responsable devant les immenses bacs à vaisselle, et devant Monsieur Gatti son patron, des 3 177 petites cuillères.
Enfin Giovanni Pastore a coulé avec le Titanic le 14 avril 1912 à 23 h 40 au contact d’un iceberg. Sous les flots, il raconte toujours inlassablement la même histoire, celle de la terre et de l’enfance perdues, de l’amour enfin retrouvé, celle de l’incroyable luxe d’un monde de première classe, l’histoire des troisièmes classes, ceux jamais comptabilisés, les laissés-pour-compte de toutes les nations qui espéraient gagner la terre promise du travail offert.
Frictions : « C’est une performance rare, d’une intensité sans faille, que réalise le comédien qui parvient par sa seule présence et la parole à nous captiver. »
Le Journal du Dimanche : « Le texte de Patrick Kermann donne une couleur aux mots, fait surgir les images, que ce soit celles des souvenirs d’enfance, puis de l’errance, ou de la clientèle huppée du Titanic. »
Lire la suiteUn grand texte servi par un grand acteur. Une heure de théâtre. Exceptionnel !
Giovanni Pastore est descendu de ses montagnes du Frioul pour chercher du travail. Il a marché à travers l’Italie, la France, l’Allemagne. Il a toujours été l’émigré, l’ouvrier, l’homme à tout faire. Puis Giovanni Pastore a trouvé une « bonne place » sur le Titanic : plongeur, responsable devant les immenses bacs à vaisselle, et devant Monsieur Gatti son patron, des 3 177 petites cuillères.
Enfin Giovanni Pastore a coulé avec le Titanic le 14 avril 1912 à 23 h 40 au contact d’un iceberg. Sous les flots, il raconte toujours inlassablement la même histoire, celle de la terre et de l’enfance perdues, de l’amour enfin retrouvé, celle de l’incroyable luxe d’un monde de première classe, l’histoire des troisièmes classes, ceux jamais comptabilisés, les laissés-pour-compte de toutes les nations qui espéraient gagner la terre promise du travail offert.
Frictions : « C’est une performance rare, d’une intensité sans faille, que réalise le comédien qui parvient par sa seule présence et la parole à nous captiver. »
Le Journal du Dimanche : « Le texte de Patrick Kermann donne une couleur aux mots, fait surgir les images, que ce soit celles des souvenirs d’enfance, puis de l’errance, ou de la clientèle huppée du Titanic. »