Description
De John Retallack
Une sorte de poème brutal dont les acteurs, tous prodigieux, s’emparent de tout leur corps et de toute leur voix. Un oratorio rock, sombre et mélancolique.
Théâtre.
Risk est construite comme un reportage poétique, comprenant une succession de témoignages de jeunes adultes de Glasgow. Cinq personnages, un joueur, une contestataire, un prisonnier, une combattante et un rebelle, chacun se retrouve confronté à un risque, doit l’appréhender et dévoiler ses capacités. Cette oeuvre chorale à l’écriture tendue, poétique, explosive, déploie une chorégraphie visuelle et sonore, faite de trajectoires humaines, entre chutes et rebonds, à l’image du monde de l’adolescence.
Le Monde : « Un spectacle d’une force magnétique, entre le ballet noir et l’opéra gore, traversé par une lucidité éclatante qui finit par tenir lieu de lumière. »
Première : « C’est beau et intense, déchirant et vertigineux. »
Webthea : « Les cinq comédiens sont formidables, étonnants dans leur capacité à danser, bouger, chanter avec la frénésie du désespoir, avec la force et parfois la légèreté d’un ange égaré. »
Lire la suiteUne sorte de poème brutal dont les acteurs, tous prodigieux, s’emparent de tout leur corps et de toute leur voix. Un oratorio rock, sombre et mélancolique.
Théâtre.
Risk est construite comme un reportage poétique, comprenant une succession de témoignages de jeunes adultes de Glasgow. Cinq personnages, un joueur, une contestataire, un prisonnier, une combattante et un rebelle, chacun se retrouve confronté à un risque, doit l’appréhender et dévoiler ses capacités. Cette oeuvre chorale à l’écriture tendue, poétique, explosive, déploie une chorégraphie visuelle et sonore, faite de trajectoires humaines, entre chutes et rebonds, à l’image du monde de l’adolescence.
Le Monde : « Un spectacle d’une force magnétique, entre le ballet noir et l’opéra gore, traversé par une lucidité éclatante qui finit par tenir lieu de lumière. »
Première : « C’est beau et intense, déchirant et vertigineux. »
Webthea : « Les cinq comédiens sont formidables, étonnants dans leur capacité à danser, bouger, chanter avec la frénésie du désespoir, avec la force et parfois la légèreté d’un ange égaré. »