Théâtre - Contemporain
Prison possession
Le 07/02/2019 de 19:30 à 20:30
Description
Mise en scène et interprétation François Cervantes
Théâtre à partir de 14 ans
Compagnie L'Entreprise
Tout commence par la rencontre de François Cervantes avec des détenus de la Prison du Pontet. L’administration pénitentiaire l’autorise à mettre en place une correspondance avec certains détenus. Rien de spectaculaire : juste des mots simples échangés, pas de voix, pas de corps, presque rien… Une voix se détache, celle d’Erik : Erik Ferdinand, figure du grand banditisme, connu pour une évasion en hélico. Les courriers se succèdent et la parole se libère. Entre l’homme de lettres et le prisonnier, une relation se crée, unique. Prison Possession est le récit sobre et sensible de cette correspondance. Un monologue humaniste qui redonne du lien et un espoir de dignité à un individu exclu du monde.
« Quand François Cervantes m’a, en ami, envoyé le livre qui venait d’être édité, je l’ai lu le soir même. À la fin de ma lecture, tard dans la nuit, je lui ai envoyé un court message : “François je finis le texte en larmes”. Depuis j’ai vu le spectacle et je suis toujours aussi bouleversé. » Patrice Douchet, directeur du Théâtre de la Tête Noire
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Compagnie L'Entreprise
Tout commence par la rencontre de François Cervantes avec des détenus de la Prison du Pontet. L’administration pénitentiaire l’autorise à mettre en place une correspondance avec certains détenus. Rien de spectaculaire : juste des mots simples échangés, pas de voix, pas de corps, presque rien… Une voix se détache, celle d’Erik : Erik Ferdinand, figure du grand banditisme, connu pour une évasion en hélico. Les courriers se succèdent et la parole se libère. Entre l’homme de lettres et le prisonnier, une relation se crée, unique. Prison Possession est le récit sobre et sensible de cette correspondance. Un monologue humaniste qui redonne du lien et un espoir de dignité à un individu exclu du monde.
« Quand François Cervantes m’a, en ami, envoyé le livre qui venait d’être édité, je l’ai lu le soir même. À la fin de ma lecture, tard dans la nuit, je lui ai envoyé un court message : “François je finis le texte en larmes”. Depuis j’ai vu le spectacle et je suis toujours aussi bouleversé. » Patrice Douchet, directeur du Théâtre de la Tête Noire