Loisirs - Concert
NOSFELL + Comme John
Le 12/10/2018 de 20:45 à 23:30
Description
« Nosfell », avec deux « L », comme l’oiseau…
Un oiseau de nuit, mais pas de l’espèce que l’on a coutume de croiser dans les rues de nos villes jusqu’au lever du soleil. Si le sommeil le déserte souvent c’est pour mieux lui rappeler d’où il vient, et le pousser à transformer l’idée la plus infime en un rêve éblouissant. « Mon moi diurne est celui qui refoule celui que je suis sur scène. Mon moi nocturne est celui qui tente de les réconcilier… » Derrière cette curieuse affirmation se cache toute la profondeur, tout le paradoxe, et toute la richesse d’un artiste dont les blessures intimes forment le terreau d’une création sans compromis.
Avec Echo Zulu dont la sortie est prévue le 13 octobre 2017, Nosfell dévoile ses obsessions et exprime le désir d’être « intime sans être impudique ». Chaque chanson possède son propre rythme, comme un mantra lumineux caressant une noirceur omniprésente, dans les textes ou les harmonies tendues.
Nosfell revendique son parcours protéiforme, sa capacité à (se) surprendre. Il ne peut capitaliser sur ses travaux précédents tant il est en recherche permanente.
Première partie : COMME JOHN
En même pas trois ans, et quelque 200 concerts plus tard, Comme John a cultivé un étrange paradoxe, une force fragile signée à quatre mains et quelques boucles, pour séduire d’abord en anglais un public féru de belle chanson française. Les vertus immenses de cette toute petite chorale ont fait le reste, riches d’une écriture parfaite et de mélodies fort bien troussées. Et l’on se prend à rêver de l’entrée dans la danse d’un Christophe Honoré, qui pourrait bien voir ici de quoi raconter la jeune Barbara, la Hardy de Gainsbourg, ou plus près de nous, une Juliette (Armanet) ou une Sophie (Grande).
Lire la suiteUn oiseau de nuit, mais pas de l’espèce que l’on a coutume de croiser dans les rues de nos villes jusqu’au lever du soleil. Si le sommeil le déserte souvent c’est pour mieux lui rappeler d’où il vient, et le pousser à transformer l’idée la plus infime en un rêve éblouissant. « Mon moi diurne est celui qui refoule celui que je suis sur scène. Mon moi nocturne est celui qui tente de les réconcilier… » Derrière cette curieuse affirmation se cache toute la profondeur, tout le paradoxe, et toute la richesse d’un artiste dont les blessures intimes forment le terreau d’une création sans compromis.
Avec Echo Zulu dont la sortie est prévue le 13 octobre 2017, Nosfell dévoile ses obsessions et exprime le désir d’être « intime sans être impudique ». Chaque chanson possède son propre rythme, comme un mantra lumineux caressant une noirceur omniprésente, dans les textes ou les harmonies tendues.
Nosfell revendique son parcours protéiforme, sa capacité à (se) surprendre. Il ne peut capitaliser sur ses travaux précédents tant il est en recherche permanente.
Première partie : COMME JOHN
En même pas trois ans, et quelque 200 concerts plus tard, Comme John a cultivé un étrange paradoxe, une force fragile signée à quatre mains et quelques boucles, pour séduire d’abord en anglais un public féru de belle chanson française. Les vertus immenses de cette toute petite chorale ont fait le reste, riches d’une écriture parfaite et de mélodies fort bien troussées. Et l’on se prend à rêver de l’entrée dans la danse d’un Christophe Honoré, qui pourrait bien voir ici de quoi raconter la jeune Barbara, la Hardy de Gainsbourg, ou plus près de nous, une Juliette (Armanet) ou une Sophie (Grande).
Organisateur
La Puce a l'Oreille
Voir la fiche de l'organisateurSite : www.lapucealoreille63.fr
Tél : 04.73.38.75.82
Mail : [email protected]